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 DOUJA PROM ADDOHA (ADH)

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ILAL



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MessageSujet: prov   Lun 25 Oct 2010 - 16:31

Actualités de l'immobilier : '' articles épuisés de l'économiste"

Immobilier: Une reprise de façade?

http://www.leconomiste.com/

• CBRE analyse les différents segments
• Les investisseurs étrangers demandent plus de transparence
• Pas de rotation dans le segment professionnel et gros besoins de stocks



L’OBTENTION de l’Investment Grade montre que le Maroc est bel et bien présent dans les radars des investisseurs étrangers. C’est donc une preuve de confiance. Mais est-ce suffisant pour attirer massivement les opérateurs internationaux? Tout porte à croire que l’on s’éloigne de plus en plus du contexte de crise. Ce qui plaide en faveur d’une relance du marché de l’immobilier. Mais valeur aujourd’hui, le constat est que les acquéreurs préfèrent attendre des jours meilleurs. Les promoteurs enregistrent plusieurs reports d’acquisition. Ce qui retarde la véritable reprise.

De l’avis de nombre d’investisseurs et acquéreurs potentiels étrangers, le marché marocain reste très atypique. «Nous rencontrons régulièrement plusieurs d’entre eux, qui réclament plus de transparence», déclare Karim Beqqali, DG de CB Richard Ellis Maroc (CBRE Maroc).

Une filiale du groupe qui revendique le statut de numéro un du conseil dans l’immobilier. Et pour contribuer au débat autour de la question de la transparence, la filiale a organisé un séminaire à Casablanca. La rencontre a été l’occasion de dévoiler la première étude réalisée par CBRE Maroc sur le marché de l’immobilier marocain à travers tous ses segments: résidentiel, retail, industriel & logistique, bureaux, hôtelier. «Le but de Market View Maroc est de fournir aux investisseurs tant nationaux qu’internationaux un outil à la décision, indépendant et transparent», déclare Beqqali. Au niveau du résidentiel, l’étude CBRE Maroc révèle l’inadéquation entre l’offre et la demande, principalement en termes de qualité et de prix. Cette inadéquation a été à l’origine de la correction des prix. Un redressement tout de même salutaire, qui a permis le retour à la réalité des prix à des niveaux plus réalistes, essentiellement dans les marchés touristiques. Au cours de la période faste, les produits du haut standing, malgré l’absence de qualité, s’écoulaient à un rythme assez soutenu. Actuellement, les acquéreurs sont plus exigeants sur le plan de la qualité et des prix, étudient toutes les offres avant de reporter parfois leur décision d’achat. Depuis 2009, le profil de l’acquéreur a changé. La demande pour ce type de logement est essentiellement assurée par le marché intérieur. Au moment où le haut standing connaît une forte contraction, les segments économiques, moyen et social, continuent de représenter un fort potentiel. Il faut rappeler que le déficit en logement, cumulé depuis de nombreuses années, s’élève à 1 million d’unités. Un chiffre qui croît de plus de 60.000 nouvelles demandes chaque année.

• Résidentiel domestique

L’analyse de CBRE Maroc montre qu’à Casablanca, par exemple, le marché du résidentiel domestique n’a pas été impacté par la crise immobilière. De plus, l’offre haut standing reste relativement faible par rapport à la demande. Toutefois, d’importants projets sont actuellement en cours de construction à Bouskoura et Dar Bouazza. Les prix y sont moins élevés. Ce qui explique la vente de plus de 60% des stocks de première phase. Pour sa part, Rabat se caractérise par une demande croissante sur le haut standing. Le déficit de la capitale politique en logements explique le rythme élevé des ventes. Pour rappel, les projets Ryad Al Andalous et Bab Al Bahr représentent à eux seuls 60% du stock global pour ce segment.

• Offre de bureaux

L’offre de bureaux à Casablanca s’élève actuellement à 1 million de m2, hors administrations publiques. Il s’agit majoritairement d’immeubles dont la superficie totale n’excède pas les 8.000 m2. Un marché réparti sur cinq principales zones : ancien centre, nouveau centre, quartier des banques, Sidi Maârouf et Aïn Sebaâ. Selon les experts de CBRE Maroc, le marché de l’immobilier professionnel a enregistré ces dernières années l’arrivée de nouveaux acteurs. Les fonds d’investissement et foncières spécialisés dans l’immobilier professionnel, intéressés par des actifs à rendement locatif. L’arrivée de nouveaux opérateurs a généré une offre locative plus adaptée aux besoins des investisseurs. Les taux de rendement recherchés par les investisseurs varient entre 8,5 et 11%, en fonction de la catégorie du bien, ses caractéristiques, la qualité des prestations… Cependant, «il n’y a pas de rotation dans le secteur de l’immobilier professionnel et le marché a besoin de stocks», explique Edwin Farrelly, analyste auprès de CBRE. En effet, le rythme de construction de bureaux à Casablanca reste faible. Elle s’explique essentiellement, comme pour les autres segments d’ailleurs, par la rareté et la cherté du foncier. De plus, au cours de la période 2009-2010, les prix de location et de vente se sont stabilisés malgré une légère baisse du volume des transactions locatives. La demande provient principalement des PME, qui sont à la recherche de locaux de 80 à 200 m2. Par ailleurs, bon nombre d’entreprises souhaiteraient changer de siège, mais sont contraintes de rester dans leurs bureaux faute d’alternative conforme à leurs attentes en termes de prix, de proximité, de surface, d’image et de normes. A signaler à ce titre que plusieurs projets sont actuellement en cours de construction dans plusieurs zones de Casablanca. Ce qui va représenter une offre supplémentaire de 300.000 m2 à l’horizon 2014. Parmi ces projets, Casanearshore, Anfa Place, Gare Casa-Port, la Marina de Casablanca... Les projections de CBRE ne tiennent pas compte de la place financière de Casablanca dont la construction est prévue dans l’ancien aéroport d’Anfa.

• Industriel

Autre segment passé à la loupe du cabinet de conseil, l’immobilier industriel et la logistique. Le pays compte actuellement 79 zones industrielles, dont 61 sont urbanisées et équipées, 6 en cours de viabilisation et 12 prévues dans les prochaines années. Cependant, l’essentiel de ce segment ne répond pas aux standards internationaux. C’est la raison pour laquelle le ministère du Commerce et de l’Industrie a mis en place le programme d’aménagement des zones industrielles de deuxième génération (P2I) pour répondre aux attentes des investisseurs étrangers. La disponibilité d’une offre sur mesure a d’ailleurs permis l’arrivé de plusieurs entreprises internationales telles que Yamazaki, Sumitomo, Lear, Faurecia…

• Retail

Au Maroc, la faible offre en centres commerciaux structurés est à l’origine du développement du marché du retail, conjuguée au développement du pouvoir d’achats et le changement dans les habitudes des consommateurs. Les opérateurs, propriétaires de marques internationales telles que Zara, Celio ou Carrefour, sont peux nombreux, mais dominent le marché. Par ailleurs, des groupes marocains commencent à s’affirmer sur ce créneau. Il s’agit, par exemple, de Kitéa, qui a ouvert 3 nouveaux magasins en 2009, d’une superficie moyenne de 1.500 m2. Les grandes marques s’implantent essentiellement dans des quartiers tels que Maârif, Racine ou encore Gauthier. Les projets, comme Anfa Place, Morocco Mall, Carré Ede…, qui seront achevés entre 2011 et 2013, auront un impact certain sur le segment du retail. Totalisant environ 190.000 m2, ces projets représenteront la première vague de centres commerciaux conforme aux standards internationaux.

• Hôtellerie

Le Maroc a mis en place le plan Azur qui visait la construction de 100.000 lits, dont 73.000 dédiés aux hôtels. Un programme étendu par la suite à trois nouvelles stations balnéaires. Mais la crise étant passée par là, les opérateurs étrangers ont dû céder leurs projets au profit d’investisseurs locaux. Il s’agit, entre autres, de Saïdia et de Port Lixus, qui ont été respectivement récupérés par les groupes Addoha et Alliances Développement Immobilier. Malgré ses difficultés, le plan Azur a permis la création de projets touristiques de grande envergure. Certains ont déjà connu un grand succès, tels que les stations Saïdia et Mazagan. Gérée par le groupe Kerzner, Mazagan table à elle seule sur 4 millions de touristes. «Le plan Azur aura permis de créer 70.000 lits supplémentaires d’ici fin 2010, d’atteindre environ 94% des 10 millions de touristes prévus. De plus, les recettes sont également au rendez-vous», déclare Jouada Ziati, DG du groupe Addoha.




http://www.leconomiste.com/
Immobilier: Le Maroc a évité de justesse «une crise meurtrière»

• La demande réelle a rapidement relayé la spéculation
• Les corrections les plus sévères ont touché Tanger et Marrakech
• Les bons produits adaptés s’écoulent sans problème!

Karim Beqqali est directeur général de CB Richard Ellis (CBRE) Maroc. Comme ses pairs, il relève le dégonflement de la bulle spéculative qui s’était emparé du marché immobilier. Il analyse la situation après l’embrasement des années 2006 à 2008. La sévère correction du marché a entraîné le retour d’une demande fondée sur des besoins réels. Quel que soit le segment, le client est devenu plus exigeant.

- L’Economiste: Comment caractériseriez-vous le marché de l’immobilier actuellement?

- Karim Beqqali: En seulement 5 ans, le marché marocain est passé d’une période d’euphorie irrationnelle de 2006 à 2008 à une phase de correction et d’assainissement du marché fin 2008, début 2009 (plus sévère pour le résidentiel touristique) pour entamer une phase de stabilisation du marché depuis début 2010. Comme dit le vieux dicton, «à toute chose, malheur est bon». Le retournement du marché initialement dû à la crise internationale a permis de corriger de manière assez brutale la bulle immobilière spéculative qui s’était emparée du marché marocain et donc, d’éviter une crise peut-être plus tardive mais bien plus profonde.

- Quel est aujourd’hui le profil des acheteurs et quelles sont leurs exigences?

- Aujourd’hui, le marché est principalement porté par la demande nationale qu’il s’agisse de la demande «utilisateurs» ou «investisseurs».

Concernant la catégorie des acheteurs «utilisateurs» principalement dédiée au secteur résidentiel, il est difficile de la réduire à un profil type puisque la base des acheteurs dans ce segment s’est considérablement élargie au Maroc ces cinq dernières années. Ceci est dû à la hausse du pouvoir d’achat, à l’élargissement de l’accès au crédit bancaire dédié à l’acquisition d’une résidence principale, et enfin, à l’instauration de fonds de garantie en faveur des populations à revenus modestes et/ou irréguliers.

Cependant, quel que soit le standing, l’acheteur type présente désormais un «profil» plus sophistiqué. Il est devenu plus exigeant sur la qualité, qu’il s’agisse de la construction, des finitions, de l’architecture ou des services annexes. Bien entendu, il demeure très sensible au prix. Ainsi, face à la hausse des prix, malheureusement, de nombreux acheteurs ont dû revoir à la baisse leurs ambitions pour accepter une superficie plus petite, un emplacement plus excentré ou un standing plus modeste. Concernant la catégorie acheteurs «investisseurs», le marché est essentiellement dominé par des institutionnels nationaux qui sont orientés vers des produits à rendement locatif dans les segments du bureau et de la logistique. Quant aux investisseurs internationaux, ils cherchent quasi exclusivement des actifs loués «prime» encore très rares au Maroc.

- Combien de temps en moyenne faut-il pour écouler un programme dans le haut standing?

- Le rythme de commercialisation des biens a effectivement ralenti ces trois dernières années et heureusement, d’ailleurs! Les rythmes de vente observés en 2007 et 2008 étaient irrationnels à mon sens et complètement déconnectés de la réalité macroéconomique car les acheteurs étaient majoritairement des «spéculateurs» à la recherche de profit à court terme à la revente. Ces rythmes de vente étaient donc dopés par une demande spéculative.
Du coup, n’importe quoi se vendait à n’importe quel prix car comme dans les marchés immobiliers en surchauffe. Les spéculateurs et leurs banquiers pensaient que l’immobilier ne pouvait pas baisser et réservaient donc des biens immobiliers avec de l’argent qu’ils n’avaient pas.

Néanmoins, l’atterrissage des rythmes de vente s’est fait en douceur car la demande réelle a progressivement pris le relais dans le marché en ayant l’opportunité de se positionner sur une offre désormais plus importante, plus raisonnable en termes de prix, et plus qualitative. L’importance et la croissance continue de cette demande liée à l’essor démographique et économique du pays explique la stabilisation, voire la tendance haussière des prix de vente dans les principales villes du Royaume.

Par conséquent, les produits adaptés à la demande (prix compétitifs, bonnes qualités, bon emplacement, bon marketing, etc.) continuent d’enregistrer une demande élevée et des rythmes de vente tout à fait convenables. D’ailleurs, les résultats des grandes sociétés immobilières de la Bourse casablancaise sont là pour le démontrer. Le marché résidentiel touristique, quant à lui, obéit à une logique complètement distincte car il est supposé être tiré par une demande étrangère qui s’est évaporée avec la crise et qui revient progressivement…

- Aviez-vous relevé une décote tarifaire sur le marché? Comment se présentent les situations selon les régions?

- Dans les grandes villes principales du pays (Casablanca, Rabat), les rares projets ayant fait l’objet d’une décote sont les projets de qualité médiocre qui ont été sanctionnés par la correction du marché. Autrement, les prix se sont maintenus, voire appréciés pour les projets qualitatifs. Dans les villes touristiques où le marché immobilier est orienté vers la demande étrangère, le climat économique d’incertitude induit par la crise internationale a eu un impact direct sur les prix à cause de l’ampleur du phénomène de mévente. En effet, la demande internationale, à majorité européenne, a fortement chuté et la baisse du taux d’absorption a eu comme conséquence un tassement des prix.

A Marrakech, nous avons observé de 2008 à 2010 une chute des prix de vente dans le secteur résidentiel «haut standing» de l’ordre de 10 à 30% pour atteindre une moyenne de 18.000 DH/m² pour les appartements et de 17.000 DH/m² pour les villas. Ces chiffres concernent principalement les projets développés sur les routes de Tahanaout, Amizmiz ainsi que les zones d’Amelkis et de la Palmeraie.

Concernant la ville de Tanger, cette dernière a également connu une effervescence du marché immobilier depuis 2004 avec d’importants projets résidentiels «haut standing», notamment dans les régions de Cap Spartel, Les Pinèdes ou Cap Malabata. Le prix de vente moyen se situe aux environs de 16.500 DH/m² pour les villas et de 21.000 DH/m² pour les appartements. A noter toutefois qu’une baisse des prix de l’ordre de 25 à 30% ou plus sur certains projets a été constatée.

Propos recueillis
par Abashi SHAMAMBA

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DaRk-H



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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Mar 4 Jan 2011 - 22:24

ADDOHA : Recours à des prestataires égyptiens pour la construction de logements sociaux

Fait : Signature d’un contrat avec 3 sociétés égyptiennes pour la construction de 10 000 logements économiques.

Analyse : Selon la presse économique, et dans le cadre de la réalisation de son plan de construction de 150 000 logements sur la période 2010-2015, ADDOHA vient de signer un contrat avec 3 opérateurs égyptiens pour la construction, sur les trois années à venir, de 10 000 unités économiques par an pour un montant global de M USD 900. Il s’agit notamment de trois filiales de la NATIONAL COMPANY FOR CONSTRUCTION & DEVELOPMENT –NCCD- à savoir (i) NASR GENERAL CONTRACTING, (ii) MISR CONCRETE DEVELOPMENT et (iii) EL NASR BUILDING AND CONSTRUCTION CO. EGYCO.

Conclusion : Le recours à des prestataires étrangers devrait permettre au Groupe ADDOHA d’accélérer la réalisation de ses programmes de logements économiques afin d’atteindre son objectif de 30 000 unités par an.

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haakoo



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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Jeu 10 Fév 2011 - 0:20

Au coeur du gigantisme Addoha


Reportage sur l’un des plus gros chantiers actuels du promoteur
Hay Salam: Un programme qui s’étend sur 128 hectares
Budget: 4,2 milliards en 4 ans

CHANTIER immense! 22.000 logements sortent de terre dans la banlieue sud-ouest de Casablanca, exactement à la sortie du quartier El Oulfa, côté boulevard Oum Rbiaâ. En plein champ, 7.000 à 8.000 ouvriers, principalement des maçons, sont à pied d’œuvre au quotidien. Une véritable usine à bâtiments qui s’étend sur 128 hectares, avec des process bien huilés. D’ailleurs, le promoteur se donne les moyens de ses ambitions. Budget global: 4,2 milliards de DH sur 4 ans, à raison de 1 milliard par an. «C’est une grosse machine qui s’est mise en branle depuis l’acquisition du foncier, avec les phases études, conception, autorisations, fondations…», précise un responsable sur site. L’enjeu est de privilégier la politique du tir groupé et faire jouer des synergies de manière à construire des groupements d’habitations de manière simultanée.
Aujourd’hui, le souhait d’Addoha est d’ériger ce programme en modèle avec des immeubles-types et le développer à l’identique sur d’autres villes. Seule différence: le choix des finitions (carrelage), des coloris et l’étendue du site bien sûr.
Lancé il y à peine 8 mois, le projet Al Farah (partie intégrante de Cité Assalam) est aujourd’hui à 40-45% de l’état d’avancement global. Un programme qui devra s’achever vers fin 2014, début 2015. Ceci étant, les premiers acquéreurs ont déjà reçu leurs trousseaux de clés il y a une semaine. En tout, ils sont au nombre de 1.225 à pouvoir emménager fin février ou début mars au plus tard!
«Au total, le programme Cité Assalam de Casablanca comprend quelque 22.000 logements répartis selon une configuration qui privilégie la mixité sociale», précise Salah Tazi, promu récemment directeur technique à Addoha. Bien entendu, la composante sociale s’offre la part du lion avec 18.354 habitats. S’y ajoutent 3.605 logements de moyen standing répartis entre appartements et villas au nombre de 500 semi finies type F6, allant de 200 à 474 m2. Le reste étant réparti entre des espaces bureaux (27.700 unités) et des locaux commerciaux étendus sur 10.000 mètres carrés.
Côté équipements de proximité, cette ville dans la ville comprend 9 écoles publiques que le promoteur compte réaliser et céder à la collectivité, 5 collèges, 2 lycées, 3 centres de santé, 3 administrations (commune, arrondissement…), 3 mosquées, 2 maisons de jeunes, des terrains de sport, 2 foyers féminins, des espaces verts… Une fois le programme livré clés en mains, 32 équipements socio-administratifs réalisés par Addoha seront cédés à titre gracieux à l’Etat. «Ce n’est pas une obligation, mais Addoha le fait bénévolement», tient à préciser le directeur technique. Parallèlement, le promoteur a programmé 14 équipements privés qui seront commercialisés, notamment des hammams, crèches, gymnases, écoles privées, centre commercial… Cette offre sera déclinée en terrains et bâtiments à céder. Plus encore, le programme d’habitations Salam sera doté d’une zone artisanale avec des ateliers-métiers. L’autre pari est d’arriver à planter plus de 18.000 arbres, à raison d’un arbre de 3 mètres de hauteur par appartement ! Autre atout et non des moindres, une double voie avec une emprise de 30 mètres sillonne l’ensemble du projet. Selon le directeur technique d’Addoha, le projet Al Farah du programme Salam répond à un cahier des charges très strict avec des engagements des entreprises sur les délais et la qualité. «Notre force réside dans la maîtrise des délais et la rationalisation des coûts sans pour autant lésiner sur la qualité de la conception jusqu’à la remise des clés», soutient Salah Tazi. En moyenne, poursuit le directeur, chaque appartement absorbe 12 tonnes de ciment et 2,5 tonnes d’acier, soit un total de plus de 216.000 tonnes de ciment et quelque 50.000 tonnes d’acier sur l’ensemble des logements sociaux de ce programme. Valeur aujourd’hui, les délais d’attente des clients oscillent entre 12 et 18 mois.


Premier arrivé, premier servi !


CONÇU par le cabinet d’architectes Lahlou, les premiers coups de pioches du projet Al Farah ont été donnés vers la fin du premier semestre 2010. L’ensemble résidentiel sera opérationnel dans sa globalité en 2015. Au total, six entreprises spécialisées dans le tout corps d’état travaillent sur ce chantier. Ce sont généralement des entreprises qui ont une taille critique et capables de produire entre 500 et 1.000 logements. Le programme comprend plusieurs quartiers conçus à l’identique. Le plus avancé est celui baptisé Farah. Sur les 5.600 appartements programmés, près de 50% sont en phase de livraison. Ce projet a fait récemment l’objet d’une visite royale. Les clés des premiers appartements ont déjà été remises. En termes d’attribution des logements et de choix, Addoha se base sur le principe «du premier arrivé, premier servi». Autrement dit, les premiers acquéreurs sont ceux ayant signé les premiers bons de commandes.
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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Lun 28 Fév 2011 - 22:39

ADDOHA / ALEM : Création d’une société commune pour la construction de 37 000 logements

Fait : Conclusion d’un partenariat entre ADDOHA et l’ALEM.

Analyse : Dans le cadre de sa stratégie visant le renforcement de son activité de logements sociaux et pour profiter des mesures incitatives contenues dans la Loi de Finances 2010, ADDOHA vient d’annoncer l’approbation par le Ministère de l’Economie et des Finances et par l’Administration de la Défense Nationale –ADN- de son partenariat avec l’Agence de Logements et d’Equipements Militaires -ALEM- visant à activer le rythme d’accession à la propriété d’un logement au profit du personnel des Forces Armées Royales.
A cet égard, une société commune, détenues à parts égales par ADDOHA et l’ALEM, a été créée pour la construction de 37 000 logements (dont 85% d’habitat social et 15% d’intermédiaire) répartis comme suit :

18 500 logements à Casablanca ;
10 600 unités à Oujda ;
Et, 8 200 logements à Kénitra.

Conclusion : La signature de ce partenariat devrait permettre au Groupe ADDOHA d’atteindre son objectif ambitieux de produire 35 000 unités par an, consolidant ainsi sa position de leader sur le segment social au Maroc. Dans l’attente de la publication des résultats 2010, nous réitérons notre recommandation d’acheter ce titre en Bourse

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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Mer 2 Mar 2011 - 10:54

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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Mar 29 Mar 2011 - 21:35

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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Mer 30 Mar 2011 - 14:46

ADDOHA : Des réalisations supérieures aux prévisions

Fait : Résultats annuels 2010.

Analyse : Leader national de la promotion immobilière au Maroc, ADOOHA dégage au titre de l’exercice 2010 des résultats bien orientés comme en atteste l’évolution de l’ensemble des ses agrégats. Ainsi, le chiffre d’affaires consolidé se bonifie de 26,1% à M MAD 7 582 (vs. nos prévisions de M MAD 7 334,6), grâce notamment à la livraison de 22 349 unités, dont 21 197 de logements sociaux et intermédiaires (correspondant à un volume d’affaires de MAD 5,9 Md), 612 résidences principales de haut standing (soit un CA de MAD 1,24 Md) et 540 résidences secondaires de haut standing (soit des revenus de M MAD 430). Ces derniers concernent des livraisons de GFM dont 50% est intégrée par ADDOHA.

Dans ces conditions, le REX consolidé marque un bond de 50,2% à M MAD 2 332 (vs. nos prévisions de M MAD 2 548,3), améliorant de 5 points sa marge opérationnelle à 30,8%. Cette performance s’explique essentiellement par la progression de 16 points de la marge de GFM et par la livraison d’unités à forte valeur ajoutée relevant du haut standing.

Pour sa part, et tirant amplement profit d’une baisse de l’endettement couplée à la non récurrence des moins values sur titres comptabilisées en 2009 (M MAD 49), le résultat financier s’allège de 101% pour se fixer à un niveau négatif de M MAD -185,8.

Eu égard à ce qui précède, le RNPG se bonifie de 92% à M MAD 1 686 (vs. nos prévisions de M MAD 1 460,8 ), déterminant une marge nette de 22,2% (contre 14,6% une année auparavant).

Côté structure bilancielle, et profitant de l’augmentation de capital de MAD 3 Md réalisée courant 2010 ainsi que d’une émission obligataire de MAD 2 Md, le FR s’améliore de 70,7% à M MAD 14 839,2, couvrant le BFR à hauteur de 93,9% (soit un BFR de M MAD 15 806,1). La TN ressort négative à M MAD -966,9. De son côté, l’endettement net s’allège de 21,6% à M MAD 6 615,8, fixant un gearing de 68,1% (contre 152,1% une année auparavant).

En social, le chiffre d’affaires s’améliore de 43,9% à M MAD 4 483,7, tandis que le REX se contracte de 23,7% à M MAD 2 484. Intégrant un résultat financier en amélioration de 35,4% à M MAD 839,1, le résultat net s’établit à M MAD 1 007,8 (+27,4%), soit une marge nette de 22,5%.

Dans ces conditions, le Conseil d’Administration devrait proposer à la prochaine Assemblée Générale la distribution d’un dividende ordinaire de MAD 2 par action, en progression de 33% comparativement à une année auparavant.

En termes de perspectives, le Groupe dispose d’un chiffre d’affaires sécurisé de MAD 20,8 Md (contre MAD 14,2 Md en 2009), grâce à la signature de 36 929 compromis de vente.

Conclusion : Remarquables, les résultats annuels d’ADDOHA s’inscrivent en forte hausse, capitalisant sur le succès commercial de ses projets tant sociaux et intermédiaires que haut standing. En 2011, le Groupe compte poursuivre son programme ambitieux visant la réalisation de 150 000 unités à horizon 2015, dont la moitié a, d’ores et déjà, été lancée. Opinion favorable renouvelée dans l’attente de l’actualisation de notre valorisation.

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Pelican



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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Mer 30 Mar 2011 - 15:57

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ILAL



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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Ven 1 Avr 2011 - 14:32

Salam
c'est malheureux de voir des gens qui se précipitent pour vendre certaines valeurs aux dernières secondes de la séance, même en faisant tomber le cour à -6% (cas le Lesieur hier)?... je ne sais pour quelle raison ; igoiste ou saddik ou peut être méconnaisseur des mécanismes boursiers ...

espèrons qu'ils devront faire preuve de solidarité et de responsabilité : la bourse est un lieu de financement, de participation, de recherche d'opportunités d'investissement et non de spéculation
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Pelican



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MessageSujet: Re: DOUJA PROM ADDOHA (ADH)   Ven 1 Avr 2011 - 15:42

ILAL a écrit:
Salam
c'est malheureux de voir des gens qui se précipitent pour vendre certaines valeurs aux dernières secondes de la séance, même en faisant tomber le cour à -6% (cas le Lesieur hier)?... je ne sais pour quelle raison ; igoiste ou saddik ou peut être méconnaisseur des mécanismes boursiers ...

espèrons qu'ils devront faire preuve de solidarité et de responsabilité : la bourse est un lieu de financement, de participation, de recherche d'opportunités d'investissement et non de spéculation


ça c'est la théorie. Et ceux qui vendent par des quantités ne sont pas dupes.
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paradoxland



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MessageSujet: bonne opportunite ?   Mar 12 Avr 2011 - 20:52

c'est rare que l'action d'addoha chute en dessous de 100 dhs ,cette fois ci elle a decide d'y camper Very Happy ,est ce un moment propice pour acheter et renforcer mon nombre d'actions? ou bien une autre chute est envisageable ?

j'attends vos retours experts,d'avance merci.
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DOUJA PROM ADDOHA (ADH)

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